la porte s'ouvrit

La porte s'ouvrit , un homme habiller d un manteau sombre y rentra. Il balaya la pièce de son regard froid. Il vit une table dans un coin sombre et s y installa. Il demanda un thé au barman. Il soufrait en silence d une blessure. La serveuse lui amena un thé. Il prit le thé de ses mains tremblantes. Il but une gorgé, reposa le thé sur la table. Il s 'assoupit sur la table.

Demeurée debout à quelques mètres de cet aventurier visiblement en mauvaise santé, la "serveuse" paraissait soucieuse. Repassant songeuse derrière le comptoir, elle défit soigneusement son tablier, le confia quelques instants au peintre d'intérieur que l'homme au cache-poussière avait pris pour le patron, puis regagna les environs immédiats de la table qu'il occupait. Penchant la tête sur le côté, elle essaya d'attirer discrètement son attention en le fixant droit dans les yeux.


Alexia, quelque peu gênée de l'aborder de manière aussi triviale : Ce thé est-il à votre convenance ? Les feuilles que nous faisons infuser proviennent des contrées les plus reculées d'Elona. Vous vous rendrez mieux compte de la distance lorsque l'on viendra vous présenter la petite note, tout à l'heure... *sourit*


Suivant avec intérêt la réaction de celui dont le costume trahissait l'appartenance au cercle des rôdeurs, la jeune femme espérait au fond d'elle-même qu'il prenne au second degré la salve drôlatique qu'elle venait de lui adresser, pensant ainsi lui redonner le sourire...

Selina était penché sur la balustrade au premier étage, ce qui lui avait permis de ne pas perdre une miette du spectacle. Un homme pour le moins étrange était entré, s’était fait servir une boisson et était visiblement en train maintenant de… dormir. La jeune femme ne pu s’empêcher de sourire en entendant la boutade de sa compagne qui visiblement n’avait pas remarqué que l’homme s’était assoupi.


Selina, pour elle même : Aller ma grande, il est temps de faire ton entrée en scène.


La guerrière se dirigea vers les escaliers et en descendit les marches, bien décidée à faire son travail de co-gérante.

ikiryo se reveilla avec difficultés et vis une belle jeune femme devant lui qui le regardait.

Le temps pour lui de reprendre ses esprits, Alexia s'était emparée d'un tabouret pour se joindre à sa table.
Se tenant la tête accoudée à cette dernière, elle continuait à attendre désespérément une réaction de l'individu, qu'elle trouvait étonnamment silencieux. Il s'était assoupi, mais elle ne s'en était aucunement rendue compte... Peut-être du fait qu'il ait conservé les yeux ouverts, l'induisant malgré elle en erreur ? Toujours est-il qu'elle commençait à perdre patience, ressentant les prémices d'une légère humiliation lorsqu'elle comprit que le rôdeur avait tout simplement somnolé devant elle ces dernières minutes!

Signe caractéristique d'un certain agacement, elle avait quitté ses chaussons pour poser ses petits pieds délicats sur l'un des barreaux du tabouret les plus durs et désagréables au toucher, comportement qui avait le don de retenir l'afflût naturel de moutarde qu'elle sentait monter en elle...


Alexia, quelque peu irritée, tapotant des doigts sur la table, le regard toujours rivé à celui de son vis-à-vis : La taverne fait aussi fonction d'auberge, vous savez, quand bien même il reste encore à réaménager certaines chambres...

se reveilla en sursaut vie une belle jeune femme et lui dit:
- escusez moi de ma maldresse mais je suis blesser et je suis au bord d el epuisement !

Alexia en avait le souffle coupé! L'individu qui se tenait assis devant elle venait se réveiller pour la deuxième fois, alors même qu'elle le pensait sorti de son état végétatif depuis une bonne minute maintenant! Faculté de double réveil, ou bien réveil unique par étapes successives ? La curiosité la titillait au plus haut point, tant et si bien qu'elle eut certainement interrogé l'énigmatique personnage sur cette question qui lui brûlait les lèvres, si celui-ci n'avait pas mis en avant la blessure dont il affirmait souffrir...


Alexia, plongeant une main dans la petite trousse qui pendait à son flanc : Vous seriez donc souffrant ? Evitez juste de décéder chez nous, ça ferait mauvais genre, à quelques jours de l'ouverture officielle de l'enseigne *clin d'oeil*
Plus sérieusement, que vous est-il donc arrivé ?

-J' ai été pourchassé par une bande de crapule de naga. j étais avec
mon groupe et on devait amener raporter des herbespour une potion
pour amener a un guerrisseur de l empereur pour qu il soigne une fille
gravement malade. Tout se passait bien jusqu au moment ou une une
bande de nagas robuste et mal intentionné nous ont attaqué !
Quand j'ai vu mes compagnons mourirs j ai couru le plus vite possible
et j ai trouver de la lumière dans votre taverne donc je suis rentré et
vous conaissez la suite....(avais du mal a garder les yeux ouvert).

raphael qui ete entrer par la porte de derriere observait la scene
une voix sort de l'ombre:

*sourit* meme si l'auberge n'est pas un lieu pour cela,
je pourrais te soigner sous certaines conditions...

*commence a se preparer*

Alexia, perplexe : Des Nagas ? Et vous auriez couru jusqu'ici ? Par Balthazar, ça ne devait pas être des tendres, pour vous avoir effrayé au point de vous obliger à une course effrénée depuis les terres canthiennes jusqu'à cette petite île au large de l'Arche du Lion *sourit*


Priant le visiteur de l'en excuser, la guerrière s'absenta un court instant, le temps pour elle de gagner sa chambre et d'y récupérer deux précieux sachets d'une poudre aux vertus prétendument curatives. Revenue à la table du rôdeur un pichet d'eau fraîche à la main et un petit pot, elle prépara sous ses yeux une étrange décoction.


Alexia : Autrefois, cette auberge était le coeur d'une organisation para-militaire. A présent, je ne suis hélas plus en mesure de vous assurer le repos serein auquel vous aspirez *ferme les yeux, approchant le baume de son nez, avant d'afficher une drôle grimace* Zut! D'ordinaire, j'ajoute un dernier ingrédient... Seulement, il ne m'en reste plus une goutte. Il manquerait plus que votre blessure s'infecte...


Dépitée, Alexia alla consulter sur leurs rayonnages les différentes mixtures qui avaient survécu au départ de Bernard. Mais nulle trace du produit miracle. Sortie de ses réflexions par une voix nouvelle résonnant à travers la pièce, la gérante suivit la scène du regard, sa main droite refermée sur la poignée d'une fine dague de cristal. Bien que son entrée fut loin d'être orthodoxe et qu'il eut mérité d'être mis hors de l'établissement sans ménagement, l'intru proposait son aide au malheureux.


Alexia, se dirigeant à pas mesurés vers l'obscur invité surprise : Passer par la porte d'entrée serait-il source de superstition chez vous, au même titre que se risquer sous une échelle ou croiser les couverts à table ?

raphael noidecoeur:

"laisse moi donc essayer, je metrise mal les soins et la magie blanche j'aimerais m'exercer, celui ci fera l'affaire"

*inspire profondement*
une aura noire violacee apparait et commence a viré en un blanc angelique, les yeux de raphael d'habitude impersseptibles deviennent blanc et le necromant s'eleve de quelques centimetres au dessus du sol.
l'homme que personne ne remarque habituelement commencait a eblouir...

Le membre Golgarie Sephoria a effectué l’action suivante : Lancer de dés

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raphael:

et voila, tes plantes te servierons plus tard guerriere...

le necromant semblait s'etre evanouie juste apres son exploit mais il restait la, pas peu fier de sa reussite

Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'intervention fut brève.
L'inconnu qui s'était introduit dans le bâtiment à l'insu de tous semblait avoir tiré sa révérence aussi vite qu'il avait surgi! Les yeux dirigés vers une fenêtre grande ouverte dont les volets battaient contre le crépi, Alexia paraissait plutôt troublée par cette rencontre fortuite. Jonglant machinalement avec sa petite dague, elle essayait de se rémémorer les traits de son visage. Qui sait, peut-être se reverraient-ils bientôt ?
Visiblement apaisée, la jeune femme fit glisser la lame de son poignard à travers l'un des anneaux de sa ceinture, puis se retourna vers le rôdeur, un sourire venant illuminer son visage.


Alexia, rayonnante,récupérant l'onguent incomplet qu'elle venait de confectionner : Eh bien! Qui sait si vous ne venez pas sans le savoir d'échapper à une amputation... *sourit* Cela dit, je parle d'une mesure extrême, alors même que j'ignore tout de l'endroit où se situait votre blessure. A propos, quel est votre nom ?

je me nomme Ikiryo, et je vous remercie de m avoir heberger et pas
jeter a la porte *sourit* ouille, je crois que je vai encor rester
assis.