J'ai lu plusieurs articles depuis hier qui relatent les circonstances très particulières des tests effectués jusqu'à présent par la presse vidéoludique. Entre autre, EA a convié l'ensemble des sites spécialisés, ainsi que d'autres généralistes mais notables comme Forbes, à participer il y a une semaine à une partie en ligne de 10h dans les locaux suédois de DICE. L'avion leur a été intégralement payé, ainsi que le gîte et le couvert, sans oublier l'achat d'espaces publicitaires sur les sites en question.
Outre ce qui peut s'apparenter à de la corruption (Ubisoft s'était fait pincer l'an passé pour exactement la même raison), l'embargo qui pèse sur les revues juste à la date de sortie du jeu étonne dans la mesure où le contenu intégral de ce dernier est d'ores et déjà disponible 10 jours avant tout le monde via le service d'abonnement EA Access sur XBox One.