Fufu au Carrefour du coin.

Admin. Les jeux auxquels je joue : Final Fantasy XIV

Non, on ne gâche jamais le potentiel d'un bon GIF.
C'est criminel!

Admin. Les jeux auxquels je joue : Final Fantasy XIV

Oh, très drôle cette image : p
Qu'en pense notre vendeur de hot-dogs sous le manteau, j'ai nommé Ikiryo ?

Le plus étonnant n’était, au final, pas de voir une louve des montagnes aussi loin de son habitat naturel mais, qu'elle se soit permise de l'approcher sans aucune précaution. Elle avais beau être la moitié d'une humaine, une simple gamine seule au bord de la rivière, cette louve solitaire était bien téméraire. Rien d'amical dans le regard de cette dernière et la salive qui commençait à apparaitre sur ces babines confirma ce qu'elle redoutait. Descendant de ses souliers, dans lesquelles elle avait été incapable de rentrer ses pieds trempés, elle senti les poissons, en train d’étouffer hors de leur seau, lui sauter entre et sur les jambes, laissant des traces de la muqueuse gluante de leur peau sur la sienne.
Elle n'avais pas quittée l'animal des yeux et, malgré le tremblement qui la parcourais, se préparait à l'attaque qui ne devrais pas tarder.

Regarder les. Si tu ne peux les fuir, regarde les et deviens celui qui te regarde. Attend le bon moment.

Grand père avais beau lui avoir montrer des centaines de fois, elle n'avais jamais compris à tout ce charabia. Elle regardais sans ciller, à s'en faire pleurer, la louve qui la dépassait d'une bonne tête. Il avais peut-être raison, ou cela ne fut qu'un réflexe heureux. La canne à pèche siffla dans les air jusqu'à claquer comme un coup de fouet, indiquant que la pointe de cette dernière avait atteint la vitesse du son, venant fouetter l’œil droit de l'animal qui allait prendre son élan, brisant celui-ci immédiatement. Sans prendre le temps de réfléchir, elle se retourna et pris immédiatement la fuite, se jetant dans la rivière, esperant que l'animal qui hurlait à la mort sur la berge qu'elle laissait derrière elle, serait suffisamment occuper pour ne pas avoir l'idée de la suivre dans la foret, aux arbres clairsemés, qui se profilait sur l'autre rivage.

Le grognement lui fit jeter un rapide coup d’œil derrière elle, la ou se trouvais la petite forêt aux arbres clairsemés qu'elle venais de quitter à toute allure quelques secondes auparavant. A peine le temps de voir la louve en sortir, bondissant par dessus les fourrés et grognant de plus belle. Son œil droit ensanglanté, qu'elle tenais fermé, ne semblais pas la gêner dans sa course vers celle qui lui avais infligée la terrible blessure.
Chaque aspirations lui brulait les poumons. Chaque expirations lui remplissait la bouche d'une bave qui se transformait en une mousse blanche qu'elle crachait et venait lui mouiller, de plus en plus, les joues et ses cheveux court de garçon manqué.
Le sol avais changé de nature et la terre meuble avais cédé la place à la dureté de la vielle roche volcanique noire que l'on devinait sous la mousse et le lichen de la grande clairière. Elle suivait, à vive allure, une petite et étroite ravine creusée par les abondantes pluies dans la roche piqueté d'éclats étincelants vitrifiés.
La canne à pèche avais été abandonnée dés la traversé de la rivière Sa robe légère, à moitié déchirée par les ronces, remontait jusqu'en haut de ses cuisses à chacune de ses enjambées. Chaque réception, sur la pointe de ses pieds nus lui découpait un peu plus la peau, laissant une petit marque rouge sur la mousse clairsemée. Elle savait pertinemment qu'elle n'y échapperais pas. Elle avais beau filer comme le vent, à en cracher ses poumons, elle sentais déjà le souffle de la bête dans son dos.

Écorchée et coupée de toutes parts par les bords saillant de la roche, elle s’était laissée tomber et glisser dans l'étroite ravine au moment ou la louve lui sautait dessus. Coincée entre les bords étroits, sans pouvoir se retourner, elle l'entendais renifler et grogner a à peine un mètre au dessus d'elle.
Elle se demandais comment elle allais pouvoir en réchapper alors que le carnassier avait arrêter de grogner et s’était mis en demeure de fouiller. La poussière de la roche, que les griffes de l'animal creusait, lui tombais sur les cheveux, l’étouffant à moitié.

Je suis dans un état de stress ...que va t il se passer? vite vite!

Pour l'instant elle est comme le chat de schrodinger. Tant que je n'ouvre pas la boite elle peut être vivante ou morte.
Il reste néanmoins une troisième voie mais, il faut sortir du cadre pour ça ^^

La louve la sortit d'entre la poussière noire de la roche volcanique dans une éclaboussure de sang formant un arc que le léger vent, soufflant sur l'interminable plaine, fit se rabattre au sol rapidement. Les puissant crocs avais sectionnés la colonne vertébrale de sa proie à hauteur de la nuque. La petite humaine était déjà un cadavre au moment ou la louve la laissa tomber au sol avant de la reprendre correctement dans sa mâchoire pour la transporter là ou attendais sa portée de petits, affamé depuis des jours par le manque de proies disponible. Les humains protégeant leurs troupeaux mieux que leurs propre petits, elle avait simplement changée son paradigme.
Les bras et les pieds ballant de la petite, prise dans la gueule de l'animal, bougeait au rythme du trot tranquille que celle-ci avais pris pour retourner au milieu de la forêt, par delà la rivière, ou se trouvais sa tanière.

Fufu au Carrefour du coin. - Page 2 B6ed4b55

Admin. Les jeux auxquels je joue : Final Fantasy XIV

Eh bien... Il est dangereux, ce Carrefour du coin-ci...

Tu n'as pas idée. Il y a plein de croix avec des fleurs en plastique et des photos des gamins qui faisaient du vélos et qui se son pris des 38 tonnes.
Iil y a tellement de croix que les chauffeurs ne voient plus les gamins arriver.
S'con !

Buveur d'eau minérale

Le chat de Schrödinger, c'est moi. *Miaou*

La boite à été ouverte.
Une vie pour quelques autres.
Personne ne peux prédire.
Pourquoi vouloir en pleurer ou en rire puisqu'au final il en sera ainsi pour tous. Ne compte que l'intervalle de temps qui t'as été offert gracieusement et, surtout, oui surtout, ce que tu en fais.
Inutile de vouloir changer le monde l'important étant de repartir en ayant changé sois même.
Se laisser crever est aussi un aboutissement comme un autre. Il n'y à pas de règles, ceux qui te disent le contraire veulent simplement que tu suives les leurs.
J'attendrais Alexia pour la touche "Humoristico-proutesque".
Elle remet toujours en place les choses trop sérieuse.

Buveur d'eau minérale

*Grimpe dans la boîte*

*Se hisse sur la pointe des pieds et se penche par dessus la boite. Lui tapote le crane à hauteur de ses oreilles*

Tu imagines que le regarde de l'observateur détermine ce qui est ?
Si quelqu'un d'autre c'etait penché, tu serais peut être mort ou simplement pas là.

*Appuie et insiste lourdement du bout des doigts sur la boite crânienne du matou et prolonge la caresse le long de sa colonne vertébrale*

Buveur d'eau minérale

*Miaule et suit les mouvements de la main qui parcourt son pelage. Et si seulement il pouvait lui expliquer, il lui dirait que sa condition actuelle ressemble beaucoup à l'expérience de Schrödinger. Hélas, il n'est pas doué avec les mots.*

*Se penche jusqu'à poser le menton sur le crane du matou en laissant le poids de sa tête écraser quelque peu le matou, l'obligeant à se contorsionner et lui procurer les caresses auxquels elle escompte bien avoir droit, de sa part*

Buveur d'eau minérale

*Fuit la tête et le carton dès qu'elle appuie avec son menton. Forcément, il lui offre les dites caresses, mais ça dure pas longtemps.*

Comment peut-on s'attacher autant à quelque chose qui en à absolument rien à battre ?
C'est peut être cela le secret hein mon matou ? Feindre l'indifférence pour s'attirer les faveurs sans être redevable de quoi que ce soit ?

*Elle se dis que, comme à son habitude, le doré irait bien vite s'occuper à ne rien faire ailleurs mais, qu'elle profiterait de ses câlins le temps qu'il voudrait bien les lui prodiguer*

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