En fait, ce qui m'avait fortement déplu avec Rurik fut cette traversée en plein territoire conquis par les Charrs, celle qui réclame à un moment donné de souffler dans une corne de brume et à laquelle tu faisais peut-être référence : le prince courant à vive allure au milieu des sabres, flèches et sortilèges ennemis, sans tenir compte de ceux qui le suivent. A la limite qu'importe, sauf que s'il trépasse, la mission échoue : p
Aussi, quelques temps plus tard, lorsque le chef des Nains du Sommet l'assassina, j'ai ressenti un sincère soulagement...