Il y a quelques mois déjà, Anatoli Ingram, l'un des chroniqueurs du site, s'en prenait au désintérêt manifesté par Arena envers la communauté rôliste (voir
ICI).
A présent, le même auteur signe un billet contre la voie économique empruntée, que ça soit dans le jeu ou par le biais de son cash shop.
Anatoli stigmatise ainsi le manque d'attrait des récompenses in game. Selon lui, ce qui est réellement digne d'intérêt, comme les compositions, ne tombe jamais ou quasiment jamais, obligeant le joueur à farmer constamment de l'or pour se les payer à l'hôtel des ventes. Le farm d'or est devenu la principale activité sur le jeu, et le pire, toujours selon Anatoli, c'est qu'elle est aussi devenue le véritable contenu de haut niveau de Guild Wars 2 : les joueurs accumulent des objets dont la seule vocation consiste à être recyclés ou vendus au même PNJ marchand.
Il poursuit en s'attaquant à la Compagnie du Lion Noir, terme utilisé dans le jeu pour désigner la boutique en ligne.
Anatoli regrette qu'Arena vende au cash shop et en exclusivité la plupart des nouveaux skins et contenus, au détriment des récompenses PvE/PvP in game. Pratiquement toutes les nouveautés réclament des gemmes, la devise transversale, tandis que le contenu accessible en jeu, lui, n'évolue pratiquement pas.
Il déplore aussi cette tendance affichée depuis quelques temps déjà de la vente d'armures à la pièce au prix fort, prenant l'exemple du set d'anarchiste, dont chaque élément est vendu 400 gemmes (4€, je crois).
____________________________
http://massively.joystiq.com/2014/06/03/flameseeker-chronicles-the-strange-case-of-guild-wars-2s-rewar/